Celui-ci préfère un jour à un autre ; celui-là les estime tous pareils : que chacun s’en tienne à son jugement. Celui qui tient compte des jours le fait pour le Seigneur ..
En effet, nul d’entre nous ne vit pour soi-même, comme nul ne meurt pour soi-même ; si nous vivons, nous vivons pour le Seigneur, et si nous mourons, nous mourons pour le Seigneur. Donc, dans la vie comme dans la mort, nous appartenons au Seigneur. Car le Christ est mort et revenu à la vie pour être le Seigneur des morts et des vivants. 10 Mais toi, pourquoi juger ton frère ? Et toi, pourquoi mépriser ton frère ? Tous, en effet, nous comparaîtrons au tribunal de Dieu, car il est écrit : Par ma vie, dit le Seigneur, tout genou devant moi fléchira, et toute langue rendra gloire à Dieu. C’est donc que chacun de nous rendra compte à Dieu pour soi-même. Finissons-en donc avec ces jugements les uns sur les autres : jugez plutôt qu’il ne faut rien mettre devant votre frère qui le fasse buter ou tomber. — Je le sais, j’en suis certain dans le Seigneur Jésus, rien n’est impur en soi, mais seulement pour celui qui estime un aliment [ou une fête] impure ; en ce cas il l’est pour lui. —
16 N’exposez donc pas votre privilège à l’outrage. 17 Car le règne de Dieu n’est pas affaire de [jours de fêtes], de nourriture ou de boisson, il est justice, paix et joie dans l’Esprit Saint. 18 Celui en effet qui sert le Christ de la sorte est agréable à Dieu et approuvé des hommes. 19 Poursuivons donc ce qui favorise la paix et l’édification mutuelle. Tout est pur assurément, mais devient un mal pour l’homme qui mange [ou célèbre] en donnant du scandale.
Rible, Romains 14