Toute une série de dessins et de représentations de cet homme-singe imaginaire était apparue dans les manuels scolaires et sous forme de modèles dans nos musées; on y montrait l'homme préhistorique dans toute sa gloire, assis autour du feu avec toute sa famille et ayant une massue à la main. On avait construit ce monsieur de toutes pièces! Oui, il était là dans toute sa gloire, saluant le monde. Et finalement tout cela n'était qu'une dent de porc! Toute une race d'hommes singes vivant un million d'années en arrière au Nebraska... ? Non. Une dent .. de porc!
Dans cet article sur l'évolution des espèces, il ne sera pas question de créationnisme, de "Dessein Intelligent". Il n'est pas non plus question d'essayer de bâtir une explication "scientifique" ou "créationniste" concernant l'origine du monde, de la vie ou de l'apparition de l'homme. Au dogme d'expliquer "pourquoi", à la science de montrer "comment". Les problèmes surgissent quand on mélange les genres.
Charles Darwin, a proposé la théorie de l'évolution des espèces pour expliquer comment la vie était apparue sur terre en essayant de se passer d'un Dieu créateur.
A l'école, cette théorie de l'évolution des espèces est imposée à tous les enseignants et enfants comme une réalité. On leur fait supposer que les savants et spécialistes sont tous d'accord et que les fossiles et découvertes archéologiques confirment l'évolution des espèces. C'est loin d'être le cas et cet article souhaite démontrer que:
Voici le témoignage du Dr. W. R. Thompson (1). Le prestige du Dr. Thompson dans le domaine scientifique était tel qu'en 1959 il fut choisi pour écrire la préface de l'édition du centenaire de l'Origine des Espèces de Darwin. Cette préface est une attaque frontale de l'hypothèse évolutionniste émanant de la plume d'un des plus grands savants du monde. Elle mérite d'être lue. Il y est déclaré entre autres: "Cette situation dans laquelle des hommes s'unissent pour défendre une doctrine qu'ils sont incapables de définir scientifiquement et encore moins de démontrer avec toute la rigueur scientifique, essayant d'en maintenir le mérite auprès du public par la suppression des critiques et l'élimination des difficultés, cette situation est anormale et indésirable en science". Plus loin, il affirme: "Le succès du darwinisme a eu comme conséquence un déclin de l'honneteté scientifique".
Dr. T. N. Tahmisian (2): "Les scientifiques qui vont de-ci de-là enseignant que l'évolution est un fait de la vie sont-ils de grands hommes de science? Ils sont de grands escrocs et l'histoire qu'ils racontent est peut-être la plus grande mystification jamais vue".
Jean-Pierre Petit (3):
La science vit depuis des années les douleurs de l'enfantement.. On entend des craquements de partout, dans la maison Science, mais les scientifiques, conservateurs dans leur immense majorité, vivent arqueboutés sur les murs, les portes et les fenêtres, dans tous les domaines, de la manière la plus lamentable qui soit. Les chercheurs nient les évidences. Si vous lisez le dernier numéro spécial de la revue La Recherche consacré aux origines de la Vie, vous y trouverez les élucubrations les plus invraisemblables qu'il se puissent trouver, qu'il s'agisse de l'apparition de l'ADN ou de l'évolution des espèces. Au lieu de dire modestement "nous ne savons pas pas", ces grands prêtres que sont les scientifiques de notre temps s'efforcent d'invoquer le dieu Hasard pour replâtrer, rafistoler une théorie Darwiniste ou Néo-Darwiniste qui fait eau de toutes parts. A la base de cette attitude il y a la crainte, pour les occidentaux, de voir "Dieu" refaire surface.
(1) Dr. W. R. Thompson: entomologiste mondialement connu et directeur pendant de longues années du "Commonwealth Institute of Biological Control" à Ottawa, Canada.
(2) Dr. T. N. Tahmisian, physiologiste auprès de la Commission pour l'Energie Atomique des U.S.A.
(3) Jean-Pierre Petit : directeur de recherche au CNRS et auteur des bandes dessinées de vulgarisation scientifique "Lanturlu"
D'un autre côté, parmi ceux qui rejettent l'évolution, il y a beaucoup d'athées et d'agnostiques: Jean-Pierre Petit, directeur de recherche au CNRS qui critique violemment la théorie de l'évolution est agnostique, il y a même des "créationnistes" athées (raëliens) !
Il est par ailleurs bon de rappeler que l'athéisme (foi en la non-existence d'un Dieu créateur et en une certaine "génération spontanée") est une croyance comme une autre, et ne mérite pas de position privilégiée dans l'espace laïque républicain. Certaines sectes des plus dangereuses sont d'ailleurs "athées" (Raël, scientologie,...).
L'athéisme n'est pas gage d'impartialité ni en matière de foi ni en matière de science!
Il est indispensable d'avoir une démarche scientifique et rationnelle basée sur des faits objectifs: rejet et dénonciation du mensonge. La vraie science est à ce prix. La sélection des "personnes autorisées" à théoriser doit se faire en fonction de leur capacité et non pas en fonction de leurs préjugés religieux ou philosophiques!
L'évolution enseigne la "génération spontanée" (apparition de la vie subitement), ancienne superstition qui a été réfutée brillamment par Louis Pasteur.
Le premier principe de la thermodynamique dit à peu près le contraire de l'évolution: Il n'y a pas d'effet sans cause, et rien ne vient de rien. Lavoisier dit presque la même chose: "rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme"Ni la lumière, ni la matière, ni la vie ne peuvent apparaître du néant.
Même un évolutionniste convaincu comme le philosophe de la science Karl Popper affirme: "Je ne pense pas que le darwinisme puisse expliquer l'origine de la vie. Je pense qu'il est possible que le vie soit si improbable que rien ne puisse expliquer pourquoi elle a commencé." (La quête inachevée, 1989: 242)
La théorie de l'évolution enseigne que les choses s'améliorent d'elles mêmes alors que tout nous montre le contraire: les choses laissées à l'abandon se dégradent irrémédiablement. C'est le second principe de la thermodynamique. Un principe vérifiable partout et toujours et ... contraire au présupposé fondamental de l'évolution.
Le problème c'est que cette belles paroles ne sont jamais appliquée au dogme de l'évolution qui malgré toutes ses incohérences est intouchable. On se contente d'insulter sa partie adverse en essayant de la stigmatiser (offensive "créationniste", explication "fondamentaliste",..) plutôt que d'entamer un vrai débat de fond.
"Il reste beaucoup d'énigmes dans notre compréhension de la vie. Par exemple, nous avons peu de lumières sur la façon dont se forment les espèces. Nous ignorons encore le rôle de certains composants de la cellule vivante. Bref, l'histoire n'est pas finie! Ce qui est exclu, c'est que la théorie darwinniene soit abandonnée." (La théorie de l'évolution est-elle en crise ? Sciences et Avenir hors série no. 134, 2003: 8-9)
La pensée unique... Il serait difficile de trouver un meilleur exemple d'intégrisme darwinien, le dogme avant tout. Une telle affirmation serait sans doute admirée des islamistes, chez qui toute critique de l'islam (caricatural ou non) est aussi inadmissible, exclue. Pourquoi un abandon éventuel du darwinisme serait-il exclu d'office? D'autres théories scientifiques ont, par le passé, été critiquées et abandonnées et la planète continue de tourner malgré tout... Autre perle:
Le créationnisme ne relève pas de la science mais de la mythologie et le Dessein intelligent relève également de la mythologie. On tente de lui donner un aspect scientifique, mais il est clair que ça n’a rien à voir.
Si on examine ce type de réaction, cela se réduit en somme à l’affirmation suivante: «Nous n’écouterons pas vos arguments et nous empêcherons par tous les moyens leur diffusion, car ils ne respectent pas un dogme que nous tenons pour absolu.»
Il y a un paradoxe dans le concept que le darwinisme soit à la fois un fait irréfutable et, d'autre part, si fragile qu'on ne puisse admettre quelque critique que ce soit à son sujet dans le contexte scolaire ou académique. Pourquoi devons-nous respecter une théorie simplement parce qu’on lui a collé l'étiquette scientifique ? Albert Camus, dans L'Homme révolté note 1951: 153) :
"Les échafauds apparaissent comme les autels de la religion et de l'injustice. La nouvelle foi ne peut les tolérer. Mais un moment arrive où la foi, si elle devient dogmatique, érige ses propres autels et exige l'adoration inconditionnelle."
Les français ont lutté pour obtenir la libertée de pensée, allons nous accepter sans rien dire ce nouvel intégrisme qui ne dit pas son nom?
Tout est question d'honnêteté intellectuelle et de courage. Sans ça il est impossible de bâtir. Et il est difficile de remettre en question l'évolution des espèces parce que cela semble toucher à une foi... irrationnelle et intégriste.
(Lire samizdat.qc.ca/cosmos/origines/creation.htm)
il n'y a plus une mais plusieurs théories contradictoires de l'évolution (darwinisme, transformisme de Lamarck, théorie synthétique, neutralisme, équilibres ponctués, mutationnisme, néodarwinisme, macroévolution, ...)
Une grande contradiction existe entre l'évolution et les découvertes scientifiques. Dans des domaines comme l'origine de la vie, la génétique de population, l'anatomie comparative, la paléontologie, les systèmes biochimiques, la théorie de l'évolution est en pleine "crise". Cette définition a été faite par le professeur Michael Denton, célèbre biochimiste. Denton dans son ouvrage publié en 1985 et intitulé "Evolution :A Theory in Crisis" (L'évolution :une théorie en crise) a étudié sous la lumière de différents domaines scientifiques la théorie de l'évolution. (Michael Denton, Evolution: A Theory in Crisis. London: Burnett Books, 1985)
Denton n'a pas critiqué le Darwinisme pour démontrer la véracité d'une autre idéologie "créationniste", il a simplement confronté cette théorie de l'évolution avec les découvertes scientifiques. Ces 20 dernières années d'autres nombreux chercheurs ont mené d'important travaux scientifiques portant sur l'invalidité de la théorie de l'évolution. La crise dans laquelle est tombée la théorie de l'évolution est clairement visible pour qui se donne la peine de regarder.
Examinons donc cette histoire et voyons si l'évolution est un fait scientifique ou s'il s'agit de la plus grande mystification jamais vue; voyons si nous ne trouvons pas effectivement de nombreux indices du déclin de la probité scientifique et de l'entrée en scène, juste pour soutenir cette théorie de l'évolution de la fraude.
Aujourd'hui encore les partisans de l'évolution invoquent le "Procès de "Scopes" pour stigmatiser le soi-disant obscurantisme ou fondamentalisme de leurs opposants mais ils se gardent bien de parler du cochon devenu homme-singe ou des nombreuses autres fraudes de l'évolution.
Quel crédit accorder à des scientifiques capables affirmer de telles choses à partir d'une dent de cochon?!
Le Professeur allemand Ernst Haeckel(1) fut l'un des premiers défenseurs de la théorie de la récapitulation embryonnaire qui dit que le développement du fœtus dans le sein d'une femme passe par toutes les étapes de l'évolution. D'une cellule unique, il devient multicellulaire... puis prend la forme d'un poisson avec des branchies... puis celle d'un singe avec une queue... puis finalement devient un être humain, ayant ainsi récapitulé tous les stades supposés de l'histoire imaginaire de l'évolution humaine.
C'est au siècle dernier que le professeur allemand Ernst Haeckel émit cette théorie. Il était un ardent partisan de Darwin. Toutefois, quelques années plus tard, lorsque ses croquis du fœtus furent examinés attentivement et à la lumière d'une connaissance plus grande du fœtus devenue possible, on y décela des altérations et déformations qui s'avérèrent être intentionnelles. Le prof. Haeckel fut traduit devant le tribunal de l'Université de Iena et reconnu coupable. Il avoua "avec contrition" ses falsifications qui avaient été pratiquées dans l'intention soi-disant de soutenir le dogme de l'évolution.
De plus, Haeckel ajouta: "Je suis condamnable à cent pour cent... si ce n'était le fait que des centaines des meilleurs observateurs et biologistes se trouvent sous la même condamnation".
Malgré celà cette hypothèse de la récapitulation embryonnaire continue à être enseignée dans plusieurs écoles, alors que sa fausseté est un fait établi depuis de nombreuses années. Cette théorie de la récapitulation embryonnaire a été pendant plus de cent ans enseignée à des millions et des millions d'étudiants; on leur a dit que "l'ontogenèse récapitulait la phylogenèse", que la croissance du fœtus, et l'embryon confirmaient l'évolution... C'est un mensonge délibéré ! En effet, tout porte à croire que l'affirmation du Dr. Thompson selon laquelle "l'avènement du darwinisme a eu comme corollaire le déclin de la probité scientifique" est exacte, au moins dans ce cas précis.
(1)Les thèses de Haekel sont l'une des principales cautions du racisme scientifique et de l'eugénisme d'Hitler (Biological Sciences and the Roots of Nazism’, American Scientist 76:56, January–February 1988)
(* Dubois et Haeckel ont entretenu de la correspondance. Les faussaires étaient non seulement amis, mais complices)
On découvrit plus tard que l'homme de Neandertal était un homme qui souffrait de rachitisme et d'ostéoarthrite (ce qui explique son dos rond), mais aussi que Boule, qui avait à sa disposition tout un assortiment d'os, les avait assemblés de telle façon que l'homme de Néanderthal avait plutôt l'apparence d'un singe. En fait, le squelettte fut reconstruit d'une façon incroyable; par exemple, le gros orteil fut retourné et placé à l'extérieur du pied comme si ce fût un orteil opposé, comme celui d'un singe: cette particularité était présumée obliger l'homme de Néanderthal à marcher sur le bord extérieur de la plante du pied.
On peut difficilement s'empêcher de conclure que Boule avait prémédité de reconstruire ces créatures pour leur donner une apparence simiesque. Les savants modernes sont tout naturellement arrivés à la conclusion qu'il s'agissait là d'une erreur colossale. C'est le moins en effet qu'on puisse dire. Mais, en attendant, des millions de personnes ont été (et continuent d'être) trompées.
On a longtemps affirmé que les néandertaliens étaient les responsables de l'industrie préhistorique caractérisée entre autres par la technique de débitage des silex dite "Levallois". Or il se trouve que cette même technique est, en Israël, associée à des fossiles d'hommes modernes! D'autre part, la fin de l'époque préhistorique moustérienne ne correspond pas non plus à l'extinction d'une hypothétique race de néandertaliens, puisqu'un squelette de ce type a été retrouvé dans un niveau "châtelperronien" à Saint-Césaire (Charente-Maritime).
Une remarque: l'homme de Neandertal possédait une capacité crânienne identique à celle de l'homme actuel, et aujourd'hui encore on peut trouver bon nombre d'individus ayant des crânes avec des formes inusuelles sans que personne ne les classe dans la famille "Neandertal"!
Nous en venons maintenant aux Australopithèque ou "singes du Sud", comme on les appelle. Les paléontologues concentrent maintenant leur attention sur l'Afrique d'où nous viennent des noms tels que le Zinjanthropus, l'Homo habilis, le crâne 1470 et "Lucy", la dernière trouvaille de Donald Johanson. On nous affirme avec assurance que nous avons là les précurseurs de l'homme.
Mais en est-il bien ainsi? Pour les tenants de l'hypothèse de l'évolution, il y a à considérer de très sérieux nœuds.
Lord Solly Zuckerman, un des anatomistes anglais les plus en vue, a passé quinze ans à étudier les restes de l'Australopithèque. Il est arrivé à la conclusion qu'il s'agit d'un singe à cent pour cent. Le Dr Charles Oxnard,
précédemment attaché à l'Université de Chicago puis à celle de Californie du Sud, a procédé à des analyses sur ordinateur multiples et variées de ces ossements et en a conclu que les Australopithèques ne se tenaient pas debout, contrairement à ce qui avait été affirmé auparavant, mais plutôt qu'ils avaient de longs bras et marchaient en s'appuyant sur les poings "knucklewalkers"). Donc, pas du tout des pré-humains, mais simplement des singes!
Lord Zuckerman a déclaré que si l'homme a évolué à partir d'un ancêtre singe, il l'a fait sans laisser la moindre trace dans les archives fossiles. Est-ce là ce qu'on laisse entendre à vos enfants à l'école?
Où est le mea culpa pour avoir mis ces "preuves" de l'évolution dans les manuels scolaires pendant des années? Toute une génération a cru en s'appuyant sur des mensonges délibérés et n'a jamais été informée de cela.
Rappelez-vous aussi que Karl Marx s'éprit à tel point de l'évolutionnisme lorsqu'il lut l'ouvrage de Darwin qu'il pensa y avoir trouvé la base scientifique du communisme.
Etant donné que le communisme, ainsi que toutes les autres idéologies athées, ne croient pas en l'existence d'un Créateur, ils doivent forcément expliquer le monde d'un point de vue matérialiste et évolutionniste. Marx pensa avoir trouvé la réponse dans le darwinisme. Il s'en éprit à tel point qu'il se proposa de dédier son livre Das Kapital à Charles Darwin. Heureusement, la femme de Darwin eut le bon sens de le convaincre de refuser cet "honneur".
Actuellement, le communisme est basé sur l'évolutionnisme. Un pasteur asiatique raconte que lorsque les communistes s'emparèrent de son village, la première chose qu'ils firent fut d'endoctriner tout le monde dans l'évolutionnisme, base du communisme. Cette idéologie
prévaut non seulement dans le monde oriental, mais aussi dans le monde occidental, nous avons ce qu'on appelle l'"humanisme séculier" dont le fondement est l'évolution. Pour preuve, l'Association Humaniste (U.S.A.) a désigné Carl Sagan "Humaniste de l'année" pour sa série en dix épisodes sur l'évolution. Les deux premiers articles du Manifeste Humaniste ne traitent que de l'évolution, affirmant que l'homme est un produit naturel de son environnement, qu'il n'a pas été créé, mais a évolué.
Nous voyons par conséquent que, soit que nous parlions de nazisme, de fascisme, de communisme, d'humanisme séculier, voire même de satanisme, l'évolutionnisme est le tronc commun qui les porte tous.
Quels ont été, dans notre siècle, les autres fruits de l'hypothèse évolutionniste? Comme un raz-de-marée, une révolution sexuelle a balayé l'occident et le reste du monde. Tout est maintenant permis! Au début, il y eut la pornographie; puis l'adultère; puis l'inceste et l'homosexualité; et maintenant, comme corollaire, la bestialité. Nous sommes en présence de toutes les formes d'immoralité sexuelle charriant avec elles une épidémie galopante de maladies vénériennes. Actuellement, notre continent est ravagée par vingt-cinq maladies vénériennes transmissibles. Comment en est-on arrivé là ?
Pour élaborer cet article sur l'évolution nous avons repris des éléments en particulier un tract intitullé "magouilles et boulettes de l'évolution".
En complément, voici quelques lectures conseillées concernant l'évolution:
D'OÙ VIENT LE MONDE? Dr A.J. Monty White (197 p.)
L'EVOLUTION, UN MYTHE CROULANT, Dr. A.J. Monty White (24 p.)
LE DELUGE ET LES FOSSILES, Dr. Gary E. Parker (72 p.)
LE MONDE QUI A PERI (Whitcomb)
Conférence d'un docteur en sciences naturelles sur l'évolution
La génétique confirme la monogenèse